Quand les retraites vont recuperer la CSG en 2021 ?

dernière mise à jour le 06/11/2020

Juste quelques semaines pour obtenir un remboursement ! À compter du 31 décembre 2020, il n’y aura plus de remboursement possible des coûts sociaux CSG CRDS pour 2017 et 2018. du 31 mars 2020 Les décisions du tribunal administratif de Strasbourg et du Conseil d’État d’avril 2019 et juillet 2019 confirment la loi sur le financement de la sécurité sociale de 2019.

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Il s’avère que depuis 2015, l’administration française a mal géré l’émission de côtes sociales CSG CRDS pour les travailleurs frontaliers et les résidents en Suisse ayant des revenus français. Maintenant que les choses ont été réglées pour 2019, que faire pour les années 2016, 2017, 2018 ? Comment puis-je rembourser la frontière suisse et le résident ? Comment le faire, jusqu’à quand ? et à quel point cela peut-il être intéressant ?

Contenu

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 :

  • La situation de
  • 2019 Magie fiscale contre les résidents suisses
  • Comment en sommes-nous arrivés là ?
  • Première décision de la Cour de rembourser CSG CRDS
  • Le « patch » fiscal 2016
  • Deuxième décision du tribunal de rouvrir le remboursement CSG CRDS
  • Fin 2018, « clarification » pour 2019
  • Qui bénéficie du remboursement de débit CSG CRDS ?
  • Que paie le revenu de débit CSG CRDS ?
  • Combien de temps demandez-vous les coûts CSG CRDS ?
  • Comment l’administration a-t-elle gagné du temps ?
  • Le point sur les décisions de l’été 2019
  • Trois exemples de remboursements CSG CRDS
  • Quel montant demandez-vous les coûts du CSG CRDS ?
  • Comment puis-je déposer votre réclamation de débit social CSG CRDS ?
  • Quelles sont les étapes à suivre pour récupérer le CSG/CRDS ?
  • Pour être accompagné pour recevoir le remboursement
  • Notre dossier : Déclarations sociales et remboursements CNTFS/URSSAF, CSG-CRDS

La situation 2019

La loi sur le financement de la sécurité sociale modifie le taux des cotisations sociales, mais le taux global est maintenu. Le taux global reste fixé à 17,2%, mais il est ventilé comme suit : CSG à 9,2 %, CRDS à 0,5 % et taux de solidarité de 7,5 %.

Cette réforme s’accompagne d’une exemption du CSG et du CRDS pour les revenus en capital des travailleurs frontaliers s’ils ne sont pas couverts par un régime de sécurité sociale français obligatoire ou par les résidents suisses.

TOUS les travailleurs frontaliers sont touchés par ce changement bénéfique, qu’ils soient affiliés à CMU (avec le taux CNTFS) ou Lamal par leur assurance maladie.

À compter de l’impôt sur le revenu en 2018 (ou 2019), le cas échéant), une exonération de CSG et de CRDS est accordée sur les revenus d’actions et les revenus de placement (y compris les gains en capital) immobilier) aux personnes qui remplissent les deux conditions suivantes :

  • sont affiliés à un régime d’assurance maladie dans un autre État de l’Espace économique européen ou en Suisse
  • ne sont pas couverts par un régime de sécurité sociale français obligatoire (dans le cas d’un travailleur frontalier, le CMU est considéré comme un régime d’assurance maladie facultatif)

Ainsi, les frontières suisses et les résidents affiliés à un régime autre que la sécurité sociale sont exemptés de 9,7 % du CSG et du CRDS sur les revenus d’actions et les produits d’investissement. D’autre part, ils sont responsables du taux de solidarité de 7,5 %. 17,2 % à C’est une bonne nouvelle pour les travailleurs frontaliers : ils passent d’un taux de 7,5 %.

Magie fiscale contre les résidents suisses

Pour les résidents suisses qui ont des revenus français, il n’y a pas de grands changements. Les exemptions sont passées de 37,2 % à 37,5 %. Pour réussir la compétence selon laquelle, après l’abolition d’une taxe, le contribuable touché serait légèrement plus taxé qu’auparavant, l’Autorité a donné un double coup de magie fiscaleLes prélèvements sont convertis en un impôt minimum de 30 % pour les non-résidents et un impôt de solidarité de 7,5 %. . Augmenter de 20 à 30 % le taux minimum d’imposition des revenus provenant de sources françaises pour les non-résidents, et remplacer les impôts supprimés par un nouvel impôt, le taux de solidarité. Les taux ci-dessus ont été ventilés de 20 % pour l’impôt minimum pour les non-résidents 17,2 % du CSG CRDS.

Comment en sommes-nous arrivés là ?

Pendant des années, la France a eu un impact sur les prélèvements sociaux sur les contribuables qui n’étaient pas soumis à la protection sociale française. La France a été reconnue coupable par la CJUE (Cour de justice de l’Union européenne) suite à l’arrêt De RUYTER de 26 Février 2015 selon lequel un contribuable domicilié en France mais travaillant dans un autre État membre n’a pas pu être soumis au CSG et au CRDS sur ses revenus en actions.

Première décision de la Cour de rembourser CSG CRDS

En tirant les conclusions de l’arrêt de la CJCE, le Conseil d’État français a statué le 27 juillet 2015 que le contribuable CSG CRDS n’était pas conforme au droit de l’UE (CE, 27 juillet 2015, n°334551) pour les contribuables justifiant la protection sociale étrangère :

  • Résidents en dehors de l’UE et de la Suisse
  • la frontière

Cette décision a amené un grand nombre de contribuables qui ont encouru ces frais à demander un remboursement .

Pour la période antérieure à 2015,Ils ont été a remboursé 250 millions d’euros pour un total de 40 000 demandes le gouvernement a dû rembourser les frontières et les non-résidents qui avaient été déduits de 2012 à 2014. . Les procédures se poursuivent pour 15 000 demandes qui restent sans réponse.

CSG CRDS, des milliers de réclamations frontalières

Le « patch » fiscal 2016

Compte tenu de l’énormité du montant à rembourser, en 2016, le gouvernement français a voulu couper le lien entre les déductions sociales du CSG CRDS et le système français de sécurité sociale. Vous avez essayé d’appliquer ce que l’on peut appeler « patch ». Il a modifié l’allocation budgétaire des prélèvements sociaux sur le revenu du capital en reconsidérant le CSG et le CRDS n’est plus comme prélèvements sociaux en soi, mais comme impôts. Il a réalloué les cotisations sociales appliquées au revenu du capital afin qu’elles ne soient plus imposables et deviennent donc applicables à tous les résidents et non résidents.

Par conséquent, les revenus de capital sont revenus à être soumis à des exactions sociales depuis 2016. Les contribuables qui ne sont pas d’accord avec cette réaffectation ont repris la procédure judiciaire contre l’État afin de maintenir leur exonération du paiement des frais sociaux.

Deuxième décision du tribunal de rouvrir le remboursement CSG CRDS

Pour 2016-2017-2018, le « patch » fiscal n’a pas suffi. En 2017 et 2018, deux contribuables bénéficiant du soutien du CDTF (Comité de défense des frontières du Haut-Rhin) ont entamé une procédure devant les tribunaux de Strasbourg et de Nancy qui a abouti au succès au Conseil d’État. Cela oblige l’État français à rembourser les cotisations sociales versées. Cette jurisprudence favorable ouvre la voie aux autres contribuables qui se trouvent dans la même situation. Les travailleurs frontaliers et les résidents suisses ont commencé à demander le remboursement des exemptions faites. Le nombre de réclamations pour cette période.

Fin 2018, « clarification » pour 2019

La loi de 2019 sur le financement de la sécurité sociale et le rapport Gentet (« La mobilité internationale du français », daté du 11 septembre 2018) sont conformes au droit communautaire. La loi de 2019 élimine une certaine coercition sociale au nom des non-résidents et redéfinit les prélèvements qui les rendent inattaquables en vertu du droit communautaire.

Qui bénéficie du remboursement de débit CSG CRDS ?

La frontière affiliée à un régime de sécurité sociale étranger tel que LaMal ou une caisse d’assurance maladie des Nations Unies et dont le revenu français était soumis à des déductions sociales en France, à un taux de 15,5 % en 2016 et 2017, et 17,2 % en 2018 peut réclamer remboursement (réclamation litigieuse).

Les travailleurs frontaliers assurés à l’AMAL pour leur assurance les médecins bénéficient davantage de ces remboursements que les travailleurs frontaliers assurés au CMU. La France estime que les travailleurs frontaliers assurés au CMU utilisent une partie de la couverture française de sécurité sociale. Par conséquent, les montants remboursés à un assuré CMU sont 2 à 3 fois inférieurs aux montants remboursés à l’assuré LaMal .

Suite à de nombreuses demandes d’anciens travailleurs frontaliers résidant en France, le 31 mars 2020 , le tribunal administratif de Strasbourg a rendu un jugement défavorable aux autorités fiscales françaises. Il oblige les autorités fiscales à rembourser une partie des cotisations perçues sur les pensions de retraite suisses.

Le défi des contribuables était basé sur le paiement en France par le CSG et le CRDS des pensions reçues de Suisse. À cette fin, le tribunal a invoqué l’arrêt NIKULA (juillet 2006) pour exonérer les contribuables du paiement de ces cotisations, uniquement s’ils dépassent le montant de la pension de vieillesse reçue de la France. Par conséquent, le paiement CSG/CRDS est limité au montant de la retraite reçue en France .

Ainsi, les autorités fiscales françaises ont l’ordre de rembourser rétroactivement ceux qui ont reçu les deux pensions et qui, par conséquent, ont payé plus de CSG/CRDS qu’en France. Ces contribuables peuvent exiger un remboursement rétroactif pour 2017 pour 2019.

Que paie le revenu de débit CSG CRDS ?

Les revenus d’actions françaises (produits d’investissement…) et les revenus de substitution (pension…) sont à l’origine des cotisations :

  • revenus immobiliers et/ou revenus immobiliers après la vente d’un bien immobilier
  • les rentes constituées à titre de considération,
  • gains en capital tirés de la cession de valeurs et droits sociaux
  • revenu de substitution (pension, retraite…)

CSG Border CRDS, chaque demande de remboursement est spécifique

Combien de temps demandez-vous les coûts CSG CRDS ?

Pour la période antérieure à 2015 , si la réclamation a déjà été déposée, elle peut être poursuivie et relancée.

Pour la période 2016-2017-2018la réclamation peut être déposée au plus tard le 31.12.2020, les dates de réclamation dépendent de la nature du revenu. Si le contribuable a réalisé des gains immobiliers après la vente d’un bien immobilier en 2017 ou s’il a perçu des revenus de la propriété en 2016, la réclamation peut être déposée au plus tard le 31.12.2019. Si le contribuable a vendu des biens immobiliers en 2018 ou avait un revenu imposé par rapport à 2017, .

Compte tenu des retards actuels dans la procédure et des éclaircissements à la fin de 2018, il est conseillé initier la réclamation dès que possible.

Comment l’administration a-t-elle gagné du temps ?

Maintenant que l’Autorité a clarifié les taxes de 2019 pour les travailleurs frontaliers et les résidents suisses, elle se « retire » pour rembourser ce qu’elle a mal perçu en 2016, 2017 et 2018. La perspective de devoir rendre plus de 200 millions d’euros ne vous accueille pas.

Étant donné que les demandes de remboursement pour 2015 ont été couronnées de succès, les dernières réclamations déposées fin 2018 ont très souvent été rejetées. Ils ont besoin de recourir au tribunal administratif . Ce remède prolonge la durée de la procédure de 4 mois. Cela complique l’approche qui doit être suivie par un formalisme rigoureux. Cela préconise d’être accompagné d’un fiscaliste habitué aux poursuites contre l’Administration.

Cette stratégie de l’Administration rappelle son entêtement dans ce qui est peut appeler la « crise des doubles affiliés », qui a vu des milliers de membres doubles de la CMU-Lamal poursuivis dans des procédures judiciaires et qui, après de nombreux mois d’huissiers de justice, ont recommandé de gagner l’affaire. Les éclaircissements de l’été 2019 ont simplifié la situation…

Le point sur les décisions de l’été 2019

Décisions du Conseil d’État d’avril 2019 et juillet 2019 Les décisions du tribunal administratif de Strasbourg et de la Cour administrative d’appel de Nancy du 31/05/2018, qui ont incité le gouvernement français à se conformer à la législation communautaire européenne.

En fait, la loi sur le financement de la sécurité sociale pour 2019 exempte CSG et CRDS sur les contribuables de revenus d’actions et de produits d’investissement affiliés à un régime de sécurité sociale dans un autre pays de l’EEE (Espace économique européen) ou en Suisse. Dans un arrêt du 14 mars 2019, la Cour de justice de l’Union européenne a confirmé que les prestations gérées par la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie (CNSA) étaient des prestations de sécurité sociale et que le gouvernement français n’était donc pas en mesure de présenter les contribuables résidents français non inclus à la sécurité sociale française à les exemptions sociales qui financent la sécurité sociale.

Par conséquent, toutes les cotisations sociales versées entre 2016 et 2018 sont remboursables.

Tout contribuable affilié à Lamal ou à CMU, qui a été soumis à des prélèvements sociaux sur son revenu de fortune entre 2016 et 2018 peut demander une libération conformément au principe du caractère unique de la législation sociale.

Le Conseil d’État, dans une décision du 16 avril 2019, a invalidé la doctrine administrative de 2018 visant à imposer des profits immobiliers en 2018 obtenus par des non-résidents à des coûts sociaux. Enfin, dans une décision du 1er juillet 2019, le Conseil d’État a confirmé l’exonération des impôts sociaux sur le revenu des actifs des contribuables affiliés à un régime de sécurité sociale dans un autre pays de l’EEE ou en Suisse et a suivi la décision de la CJCE.

En conclusion ,

les contribuables qui ont fait l’objet de cotisations sociales au cours des années 2016 à 2018 devraient adopter une approche pour le remboursement de ces cotisations à un taux de 15,5 % pour les cotisations sociales versées sur les revenus d’actions et les revenus de placement perçus entre le 1er janvier 2016 et le 31 décembre 2017 : 17,2% – 2% = 15,2 % (2 % de solidarité qui n’entre pas dans le champ d’application du règlement européen de 2004 sur la législation sociale unique). Ils doivent également rembourser les contributions sur les revenus d’actions et les revenus de placements. collectées entre le 1er janvier et le 31 décembre 2018.

Les revenus d’actions se réfèrent aux revenus fonciers, aux rentes viagères, aux revenus du capital mobilier et aux plus-values. Les revenus de l’année 2017 seront couverts par ordonnance après le 31 décembre 2020. La prescription des gains immobiliers est raccourcie. Dans ce cas, il s’agit des gains immobiliers pour 2018. Des gains en capital antérieurs sont prescrits.

Nous vous rappelons que le 31 décembre 2020 est la date limite pour demander le remboursement des retenues sociales versées en 2017 si vous êtes affilié à Lamal.

Afin de tenir compte de la jurisprudence de Ruyter de 2015 sur le principe du caractère unique de la législation sociale, le législateur français a modifié depuis 2016 l’allocation des cotisations sociales sur le revenu du capital. Toutefois, le Conseil d’État a fait valoir à deux reprises en 2019 que cette la réaffectation a été vaine et ces cotisations sociales n’étaient pas compatibles avec la législation de l’Union européenne (CE 16-4-2019 n° 423586 ; CE 1-7-2019 no 422780). En pratique, les contribuables affiliés à un régime suisse de sécurité sociale peuvent demander jusqu’au 31 décembre 2020 le remboursement des coûts sociaux appliqués en recouvrement (pour les revenus de capitaux propres) ou payés (pour des produits d’investissement tels que les revenus immobiliers) en 2017.

Cette demande doit être soumise sous la forme d’une plainte auprès du directeur des services fiscaux du lieu d’imposition.

Après le 31 décembre 2020, 2017 sera prescrit, aucun remboursement ne sera requis !

Trois exemples de remboursements CSG CRDS

Exemple A : M. C, de nationalité britannique, a perçu une pension britannique et une pension de retraite suisse en 2017 pour un montant total de 40 000 euros, est membre d’un régime d’assurance maladie suisse. Il a versé 2 640€ de cotisations sociales en 2017. Vous pouvez demander un remboursement de 2 640€ jusqu’au 31.12.2020

Exemple B : M. Un résident fiscal en Suisse à Nyon possède un appartement à Lyon qui donne un loyer de 10 000€ par an. Il a versé en 2016 1 550 euros de cotisations sociales, 1 520 euros en 2017 et 1 720 euros en 2018. Il a pu demander un remboursement de 4 820€ au centre non-résident avant le 31.12.2019.

Exemple C : La frontière de Mme B travaillant à Genève a obtenu un gain immobilier grâce à la vente d’une maison en France de 20 000€ et a versé 3’100 € de cotisations sociales. Il avait jusqu’au 31.12.2019 pour demander un remboursement de 2 700 euros, dans son centre fiscal.

Quel montant demandez-vous les coûts du CSG CRDS ?

Compte tenu de la durée de la procédure et des appels, la plainte n’est pas pertinente en dessous d’un montant minimum. Ce montant minimum est à la discrétion de tous. Toutefois, vous devez garder à l’esprit qu’une réclamation pour plusieurs sources de revenus imposables est plus complexe à documenter qu’une demande pour une seule variété de revenus. Par conséquent, les intérêts sur un crédit doivent être évalués en tenant compte du montant à recouvrer et de la variété des revenus imposables en question.

Au-delà du montant minimum à récupérer, nous conseillons aux travailleurs frontaliers de déposer une action en justice. Sans plainte, ils ne pourront pas bénéficier de cette déclaration juridique. Ce n’est pas automatique du tout.

Comment puis-je déposer votre réclamation de débit social CSG CRDS ?

Toute réclamation doit être accompagnée de :

  • preuve du montant des privilèges sociaux contestés (avis fiscal)
  • preuve de l’affiliation du contribuable à un système de sécurité sociale dans un pays autre que La France dans l’UE, l’EEE ou la Suisse.

Veillez à être précis en ce qui concerne le choix du domicile . Par le passé, de nombreuses difficultés de remboursement ont entraîné des inexactitudes de la part du demandeur à ce stade.

La réclamation devient plus complexe lorsqu’il est nécessaire de faire appel devant le tribunal administratif.

Quelles sont les étapes à suivre pour récupérer le CSG/CRDS ?

L’administration calcule le montant du taux de solidarité de 7,5 % sur ses actifs et ses revenus de placement sans qu’il soit nécessaire de demander un remboursement. En ce qui concerne le chiffre d’affaires 2019 qui sera prolongé dans la rentabilité 2020 : Pour obtenir le recouvrement CSG/CRDS, il suffit de cocher les cases suivantes sur votre reçu de déclaration de revenus 2042 :

  • 8RP : absence d’un régime d’assurance maladie français obligatoire
  • 8SH : affiliation au régime de sécurité sociale de l’Espace économique européen (EEE) ou la Suisse

Veuillez noter que si vous avez d’autres revenus ( valeur immobilière, revenu locatif meublé) qui ne sont pas mentionnés en 2042, vous devez remplir une déclaration supplémentaire de 2042C. La déclaration 2042C est complétée comme suit :

  • si vous êtes célibataire : cochez la case 8SH
  • si vous êtes marié/décédé : et aucun d’entre vous n’est affilié à la Sécurité sociale française, cochez les cases 8SH et 8SI. Par conséquent, vos revenus d’actions et vos revenus connexes ne sont pas assujettis à la CSG et au CRDS.
  • si vous êtes un couple marié ou décédé, et qu’un seul d’entre vous est affilié à la sécurité sociale française (par exemple, en tant que travailleur frontalier), vous devez détailler par catégorie le montant des revenus provenant de la succession du conjoint bénéficiant de l’exemption, afin qu’ils soient exclus de la base soumise au CSG et CRDS (boîtes 8 RF, 8RV, 8 RC, 8RM)

Revenus de capitaux propres EXONÉRÉS DES CORDONS CSG Pour les revenus 2017, déclarés en 2018, il est nécessaire d’établir une demande de remboursement, jusqu’au 31/12/2020.

Veuillez noter que selon votre situation (frontalier résidant ou non en France), l’administration que vous devez contacter n’est pas la même.

Si vous êtes un résident fiscal et frontalier en France, il est recommandé de déposer une seule demande qui inclut tous les remboursements souhaités. Vous devez demander un remboursement, par la poste, au service des finances publiques départementales dont il dépend, ou par courriel dans votre espace personnel impot.gouv.

Si vous n’êtes pas un résident français, vous devez faire une demande auprès du Service fiscal des personnes non-résidentes (SIPNR) à l’adresse suivante : Rue Centre 10 TSA 10010 93465 Bruyant du Grand Cedex

Les pièces justificatives à joindre :

  • Spécifiez la ou les années d’imposition en question
  • Fournir un certificat de affiliation à la sécurité sociale du pays de pratique
  • Joignez l’avis fiscal pertinent indiquant les exonérations sociales pour lesquelles une restitution est demandée.

Pour être accompagné pour recevoir le remboursement

Pour récupérer tous les droits éligibles pour vous, la complexité des procédures peut nécessiter le soutien d’un professionnel. Les affaires peuvent nécessiter une assistance d’experts :

  • Plusieurs changements de résidence au cours des trois dernières années
  • Multiplicité des revenus perçus en France
  • Un changement de situation personnelle (divorce, décès) pouvant entraîner une discontinuité ou une interruption des droits

Notre partenaire expert en fiscalité française

Pour bénéficier des conseils et du soutien de notre partenaire VEC Vendôme Comtable Expertise spécialisée dans la fiscalité frontalière et les expatriés français :

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      • envoyer votre réclamation au centre fiscal
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